LE SORCIER BORDÉLIQUE

S’il y a bien un nom en France qui a fait rêver des générations de passionnés, c’est celui de Gordini. Celui qui parvenait à tirer la quintessence de mécaniques à peine dignes d’intérêt.

pierre ménard – photos the cahier archive
Dans les années 1960 et 1970, deux bandes blanches et un nom à consonance italienne suffisaient à faire dresser les pouces des passionnés, qu’ils aient ou non les moyens de s’offrir une voiture.
(Découvrez la suite du reportage dans le Grand Prix #48)