DESTIN

ROB WALKER, PROFESSION: GENTLEMAN

pierre ménard – lat

Il fut une époque où la course coûtait son prix, mais où l’on pouvait croiser des gens qui se l’offraient pour leur plaisir. Une époque où l’on se battait pour la victoire, mais aussi pour la beauté du geste. Rob Walker incarnait cet état d’esprit.

Lorsqu’il ferma les portes de son écurie fin 1970, Rob Walker laissa la place à une histoire qui continuait, mais qui ne lui ressemblait plus. Ce petit-fils du fondateur de la distillerie écossaise de whisky éponyme avait toujours fait partie de ces structures indépendantes que l’on croisait dans les paddocks des années 1950 et 1960 et qui, le plus souvent, tiraient le diable par la queue pour le simple bonheur d’appartenir au monde enivrant de la course automobile.
(Découvrez la suite du reportage dans le Grand Prix #40)
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