Damien Smith – presse sports | Offside | The bernard cahier archive
Un projet né en 1965 et abandonné dans la foulée. Pour Steve McQueen, le rêve d’incarner un champion de Formule 1 aura donc été brisé deux fois : pour Grand Prix et pour The Day of the Champion. Voici l’histoire du second, le film oublié du King of the Cooler.
Steve McQueen ou James Garner ? Michael Delaney ou Pete Aron ? Le « Roi du Frigo » (Cooler King) ou l’« opportuniste » ? C’est vous qui voyez. Mais John Frankenheimer est toujours resté persuadé que, s’il avait eu « Steve McQueen à la place de James Garner dans Grand Prix, cela aurait fait un succès commercial plus important encore que celui des Dents de la Mer ». Ce genre de commentaire aurait pu blesser Garner à l’époque, si celui-ci s’était soucié le moins du monde de son image. Mais il s’en moquait comme personne. Pour lui, le tournage de Grand Prix n’avait rien été d’autre qu’un job de plus. Sa découverte d’une passion pour les autos n’y changeait rien : c’était bien payé, voilà tout. (Découvrez la suite du reportage dans le Grand Prix #34)